Fin de cavale pour les multinationales ?

Ce sont des millions d’injustices auxquelles nous pourrions enfin mettre un terme, si seulement les multinationales étaient tenues légalement responsables des violations aux droits humains qu’elles commettent partout dans le monde. Exploitation des travailleurs.ses, conditions de travail indignes, expulsions de populations, financement de milices, destructions environnementales et pollutions meurtrières… : quels que soient la gravité des faits et le nombre de victimes, actuellement aucun instrument juridique international ne s’applique aux entreprises multinationales !

Depuis 2015, des négociations ouvertes à l’ONU sur un traité international contraignant pourraient enfin mettre fin à cette impunité. La prochaine session aura lieu du 23 au 27 octobre à Genève, signant l’entrée de ce processus dans une phase décisive puisqu’une première proposition écrite de traité va être débattue par les États.

Or, la France a adopté début 2017 une loi pionnière en la matière : la loi sur le devoir de vigilance des multinationales. Elle a donc un rôle primordial à jouer dans les discussions à l’ONU.

Aidez-nous à faire pression sur le gouvernement français pour qu’il fasse entendre la voix de la France à l’ONU, en soutenant activement ce projet de traité, et pour qu’il pousse l’Union européenne à faire de même !

Pour ce faire, rendez-vous sur cette adresse :  http://stopimpunite.org/

 

Les 9 partenaires :

ActionAid France-Peuples Solidaires, AITEC, Amis de la Terre France, CCFD-Terre Solidaire, CGT, Collectif Ethique sur l’étiquette, France-Amérique Latine, Ligue des Droits de l’Homme, Sherpa.

 

Communiqués de la LDH

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